On associe spontanément la luminothérapie à l’hiver et à la grisaille. Pourtant, la lumière utilisée en photobiomodulation (LED rouge, proche infrarouge, bleu et jaune) ne se contente pas d’agir sur l’humeur : elle optimise la qualité de la peau, soutient la régénération cellulaire et atténue visiblement les signes du temps. Bonne nouvelle : ces bénéfices ne connaissent pas de saison. Employée correctement, une lampe de luminothérapie pour la peau s’utilise toute l’année, en toute sécurité, avec un protocole ajusté à l’ensoleillement, à l’âge cutané et au rythme de vie.
Dans ce guide, nous répondons aux questions des utilisatrices et utilisateurs, détaillons un programme 12 mois prêt à l’emploi, expliquons les précautions d’usage et mettons en lumière la lampe de luminothérapie 4 couleurs Solvital — pensée pour conjuguer efficacité, confort et simplicité.
Pourquoi utiliser la luminothérapie pour la peau en été comme en hiver ?
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Hiver : le froid, le manque de lumière naturelle et le chauffage dessèchent l’épiderme, aggravent les rougeurs et ternissent le teint. La photobiomodulation apporte de l’énergie cellulaire et relance les processus de réparation.
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Printemps : période idéale pour préparer la peau, améliorer la fonction barrière et uniformiser le teint avant l’exposition solaire.
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Été : malgré le soleil, la peau subit oxydation et inflammations (chaleur, UV, pollution ozone). Les séances LED post‑exposition (hors coup de soleil) aident à calmer, réhydrater et soutenir la récupération.
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Automne : c’est la phase « remise à niveau » : on atténue les irrégularités apparues l’été (grain de peau, éclat, marques résiduelles) et on prépare l’hiver.
Autrement dit, la luminothérapie n’est pas un « soin de saison », c’est une stratégie d’entretien continu pour retarder les signes du vieillissement cutané, optimiser la tolérance des routines actives et retrouver un éclat mesurable.
Comment ça marche : la photobiomodulation expliquée simplement
La photobiomodulation (PBM) utilise des longueurs d’onde spécifiques de lumière visible et proche infrarouge pour déclencher des réponses biologiques bénéfiques. Sans échauffer ni abîmer la peau, ces photons sont absorbés par des chromophores (notamment dans les mitochondries), ce qui augmente la production d’ATP (énergie cellulaire) et module des voies de signalisation impliquées dans la synthèse de collagène, l’apaisement de l’inflammation et l’homéostasie de la peau.
Ce qu’il faut retenir :
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Pas de photosensibilisation UV : les LED utilisées pour la PBM n’émettent pas d’UV. On parle de lumière visible/IR non ionisante, à des doses contrôlées.
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Cure + entretien : les effets sont cumulatifs. On obtient un résultat tangible via des cures régulières, puis un rythme d’entretien.
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Compatibilité : la PBM se combine avec la plupart des routines skincare et de nombreux soins en institut, ce qui en fait un multiplicateur de résultats.
Couleurs et bénéfices : rouge, proche infrarouge, bleu
Les appellations « rouge », « bleu » et « infrarouge » renvoient à des plages de longueurs d’onde. Selon l’appareil, le réglage exact peut varier ; l’important est la cohérence du protocole et la régularité.
Couleur | Cible principale | Bénéfices clés | Astuces d’usage |
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Rouge | Fibroblastes (collagène) | Tonus/fermeté, rides et ridules, éclat, homogénéité du teint | Idéale en cure anti‑âge ; séances courtes et régulières |
Proche infrarouge | Tissus plus profonds | Soutien de la récupération et du confort, amélioration perçue de la souplesse | Très utile après l’été et en hiver pour le confort cutané |
Bleu | Microbiote cutané | Soutien en cas d’irrégularités liées aux imperfections | À intégrer en ciblé (zones), puis entretien |
Bon à savoir : beaucoup d’utilisateurs constatent un teint plus lumineux dès les premières semaines, puis une amélioration progressive de la texture et de la fermeté sur 6 à 12 semaines, surtout lorsqu’on associe une routine cosmétique cohérente.
Programme annuel : protocole 12 mois, saison par saison
Le protocole ci‑dessous est généraliste et pensé pour un usage domestique. Il s’adapte selon votre peau, votre âge et votre tolérance. En cas de traitement dermatologique ou de pathologie, demandez l’avis de votre professionnel de santé.
Hiver (décembre — février)
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Objectif : confort, fermeté, éclat.
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Fréquence : 3 séances/semaine pendant 6 à 8 semaines, puis 2/semaine.
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Réglages : Rouge en base ; proche infrarouge 1 à 2 fois/semaine pour le confort des tissus.
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Astuce : faire les séances le soir pour profiter du temps de récupération nocturne.
Printemps (mars — mai)
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Objectif : homogénéité, barrière cutanée, préparation à l’ensoleillement.
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Fréquence : 2 à 3 séances/semaine pendant 4 à 6 semaines.
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Réglages : Rouge en base ; bleu ponctuellement si irrégularités localisées.
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Astuce : maintenir une hydratation solide (acides aminés, glycérine, HA) ; SPF quotidien.
Été (juin — août)
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Objectif : récupération, apaisement, maintien de l’éclat.
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Fréquence : 1 à 2 séances/semaine ; en cas d’exposition accrue, 2 à 3 courtes séances.
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Réglages : Proche infrarouge pour le confort ; rouge en entretien.
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Astuce : séances post‑journée, jamais sur coup de soleil ; ne remplace jamais la protection solaire.
Automne (septembre — novembre)
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Objectif : corriger les irrégularités apparues en été, relancer la dynamique anti‑âge.
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Fréquence : 3 séances/semaine pendant 6 semaines, puis 2.
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Réglages : Rouge en cure ; bleu ciblé si besoin sur les zones à imperfections.
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Astuce : excellente période pour une cure structurée avant les fêtes.
Durée d’une séance : généralement 10 à 20 minutes pour le visage ; respecter la distance recommandée par l’appareil et la minuterie intégrée. La régularité prime sur la durée.
« Sans risque » : conditions d’usage, contre‑indications et bonnes pratiques
Le terme « sans risque » s’entend dans le cadre d’un usage correct de l’appareil et du respect des consignes. Voici l’essentiel :
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Yeux : ne regardez pas directement les LED ; utilisez les protections oculaires fournies le cas échéant.
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Photosensibilisants : évitez d’utiliser la lampe immédiatement après application de soins photosensibilisants (ex. certains rétinoïdes, AHA à forte concentration) ; espacez de quelques heures ou alternez les jours. En cas de doute, faites un test progressif.
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Peau lésée : n’appliquez pas sur peau présentant une lésion ouverte, une infection active ou un coup de soleil.
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Grossesse, épilepsie, traitement spécifique : demandez un avis médical préalable.
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Distance et temps : respectez les indications de distance / durée ; évitez l’excès — la PBM suit une courbe dose‑réponse (trop n’apporte pas plus).
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Hygiène : nettoyez la peau avant séance ; garder l’appareil propre (chiffon sec, appareil débranché).
En suivant ces règles, l’usage domestique est confortable et bien toléré. La majorité des utilisations rapportent au plus des sensations transitoires (légère chaleur, rosée passagère), rapidement réversibles.
À domicile vs en institut : que peut‑on attendre ?
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Instituts / cabinets : appareils plus volumineux, protocoles intensifs en courtes séries (ex. 6 à 10 séances). Idéal pour un « boost » initial ou en préparation/récupération d’un soin technique.
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À domicile : puissance et surface adaptées à l’usage personnel, régularité facile, coût amorti sur la durée. Les résultats sont progressifs mais réels à condition d’être assidu.
Stratégie gagnante : démarrer par une cure à domicile (4 à 8 semaines) avec la lampe Solvital, puis entretenir à 1–2 séances/semaine. En complément, programmer ponctuellement un soin cabine avant un événement ou après les vacances pour accélérer la remise à niveau.
Focus produit : la lampe 4 couleurs Solvital pour le soin de la peau
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La lampe 4 couleurs Solvital rassemble l’essentiel pour une routine LED réussie, sans complexifier l’expérience :
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Trois modes complémentaires : rouge (anti‑âge/éclat), proche infrarouge (confort/récupération), bleu (zones d’imperfections).
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Simplicité d’usage : mise en route intuitive, minuterie pratique pour calibrer la séance, positionnement confortable.
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Usage mains libres : on lit, on se détend, on médite pendant la séance.
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Constance des résultats : la régularité est plus facile qu’avec un passage en cabine — l’appareil est chez vous, prêt quand vous l’êtes.
Pourquoi elle convient toute l’année ?
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En hiver, elle relance l’éclat et le confort.
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Au printemps, elle uniformise et prépare la peau.
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En été, elle accompagne la récupération (hors coup de soleil) après la journée.
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En automne, elle corrige et remet à niveau avant l’hiver.
Routine cosmétique associée (matin/soir) et combinaisons gagnantes
Avant la séance
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Démaquillage/nettoyage doux, peau sèche.
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Éviter juste avant les produits potentiellement irritants (AHA/BHA concentrés, rétinoïdes) si vous débutez ; alternez les jours.
Après la séance
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Appliquer un hydratant simple (ex. glycérine, acide hyaluronique, céramides) et, le matin, une protection solaire à large spectre.
Matin (exemple)
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Nettoyant doux.
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Sérum antioxydant (ex. vitamine C bien tolérée).
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Séance LED (si vous préférez le matin, sinon le soir).
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Hydratant + SPF.
Soir (exemple)
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Double nettoyage.
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Séance LED (si pas faite le matin).
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Hydratant réparateur. Actifs « forts » (rétinoïdes) les soirs sans LED si vous êtes sensible.
Combinaisons intéressantes
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LED rouge + peptides : synergie sur l’aspect fermeté.
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LED proche IR + niacinamide : confort et régulation.
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LED bleu + zinc (topique) : usage localisé sur les zones.
Quand observer des résultats ? Calendrier réaliste & suivi
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2–3 semaines : teint plus homogène, peau plus souple.
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6–8 semaines : amélioration visible de la texture, des ridules, meilleure tolérance générale de la routine.
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12 semaines et + : consolidation ; maintien par 1–2 séances/semaine.
Gardez en tête que la régularité est le premier facteur de succès. Les clichés « avant/après » sous la même lumière et au même horaire aident à objectiver le progrès.
FAQ : 18 questions fréquentes sur la luminothérapie cutanée
1) La lampe de luminothérapie pour la peau émet‑elle des UV ?
Non. Les LED de photobiomodulation travaillent en lumière visible et proche infrarouge, sans UV.
2) Puis‑je utiliser la lampe l’été ?
Oui. Elle s’utilise toute l’année. Privilégiez des séances post‑journée et ne l’utilisez pas sur coup de soleil.
3) Est‑ce que cela remplace la crème solaire ?
Non. La luminothérapie ne remplace jamais une protection solaire à large spectre.
4) Combien de séances par semaine pour un effet anti‑âge ?
En démarrage : 3 séances/semaine pendant 6 semaines, puis 1–2 en entretien.
5) Faut‑il des lunettes de protection ?
Ne regardez pas directement la source. Selon votre confort et l’appareil, des protections oculaires peuvent être utilisées.
6) Rouge ou proche infrarouge : lequel choisir ?
Le rouge vise surtout l’éclat et la fermeté ; le proche IR améliore le confort profond. Beaucoup alternent selon la saison.
7) Et la lumière bleue ?
Utile en ciblé sur les zones à imperfections. Elle s’emploie en complément, pas forcément à chaque séance.
8) Y a‑t‑il des effets secondaires ?
Au plus, une légère sensation de chaleur ou une rosée transitoire. Respectez la distance et la durée.
9) Puis‑je combiner avec rétinoïdes/acides ?
Oui, mais alternez si vous êtes sensible. Introduisez progressivement.
10) À partir de quel âge ?
Dès l’apparition de vos premiers objectifs anti‑âge (texture, éclat, ridules). L’important est la régularité.
11) Combien de temps dure une séance ?
En général 10 à 20 minutes pour le visage. Utilisez la minuterie.
12) Peut‑on traiter le cou et le décolleté ?
Oui, en adaptant la distance et le temps par zone.
13) Et pour les peaux sensibles/rougeurs ?
La PBM est bien tolérée. Commencez par des séances plus courtes et augmentez si tout va bien.
14) Est‑ce compatible avec la grossesse ?
Par précaution, demandez l’avis de votre professionnel de santé.
15) Peut‑on l’emporter en voyage ?
Selon le format de l’appareil. La lampe Solvital est conçue pour un usage domestique simple et régulier.
16) Faut‑il mettre un sérum avant ?
Peau propre et sèche avant la séance. Les soins viennent après.
17) Dans combien de temps verrai‑je une différence ?
Souvent dès 3–4 semaines pour l’éclat ; 6–8 semaines pour la texture/fermeté.
18) Quelle est la différence entre luminothérapie “humeur” et LED “peau” ?
Même famille (lumière non ionisante), objectifs différents : l’une cible l’horloge biologique, l’autre la biologie cutanée.
Prêt·e à démarrer une routine qui traverse les saisons ?
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